La formation continue est à la peine

Des statistiques soulignent l’écart entre le discours et la réalité en matière d’apprentissage tout au long de la vie. Les explications de Caroline Meier Quevedo, directrice du secrétariat romand pour la Fédération suisse pour la formation continue.
D’après l’enquête réalisée par l’OFS, les obstacles à de tels apprentissages sont de natures différentes, entre contraintes familiales, coûts trop élevés ou manque de temps.
D’après l’enquête réalisée par l’OFS, les obstacles à de tels apprentissages sont de natures différentes, entre contraintes familiales, coûts trop élevés ou manque de temps.

D’après l’enquête réalisée par l’OFS, les obstacles à de tels apprentissages sont de natures différentes, entre contraintes familiales, coûts trop élevés ou manque de temps.

Pexels

Julie Eigenmann, Le Temps
Partager cet article

Apprendre se fait tout au long de la vie, entend-on souvent. La formation continue n’est plus un luxe, mais une nécessité, s’accorde-t-on aussi à dire. Pourtant, les chiffres racontent une histoire un peu différente: pour 29% de la population résidente permanente en Suisse âgée de 25 à 64 ans, la dernière formation continue remonte à au moins cinq ans. Et parmi ces personnes, 44% ont déclaré qu’elles n’en avaient tout simplement pas besoin.
C’est ce qui ressort d’une enquête réalisée par l’Office fédéral de la statistique (OFS) en 2021, publiée en mars dernier. Par formation continue, précise l’OFS, on entend ici la formation institutionnalisée et organisée par un établissement de formation en dehors du système d’éducation formel. Il peut s’agir de cours, de...

Découvrez nos différentes offres d’abonnement

Le Quotidien Jurassien

Powered by iomedia

SQoop