Les avoirs russes gelés en Suisse dans une impasse

Deux ans après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le Secrétariat d’État à l’économie (Seco) ne s’attend pas à trouver beaucoup de biens qui pourraient tomber sous le coup des sanctions à l’encontre de Moscou.
Les discussions sur l’utilisation des avoirs russes gelés en Suisse et dans les autres pays européens sont en cours. L’UE compte attribuer une partie de ces fonds à l’Ukraine. Ici, des dégâts occasionnés dans la ville de Dnipro.
Les discussions sur l’utilisation des avoirs russes gelés en Suisse et dans les autres pays européens sont en cours. L’UE compte attribuer une partie de ces fonds à l’Ukraine. Ici, des dégâts occasionnés dans la ville de Dnipro.

Les discussions sur l’utilisation des avoirs russes gelés en Suisse et dans les autres pays européens sont en cours. L’UE compte attribuer une partie de ces fonds à l’Ukraine. Ici, des dégâts occasionnés dans la ville de Dnipro.

© KEYSTONE

Lassila Karuta, Zurich, Le Temps
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À moins qu’il y ait de nouvelles sanctions, les avoirs russes gelés ne devraient pas sensiblement augmenter en Suisse. Les propos émanent de Simon Plüss, le chef du centre de prestations Contrôles à l’exportation et sanctions au Secrétariat d’État à l’économie (Seco) lors d’un point de presse tenu mardi.

Deux ans après l’invasion de l’Ukraine par la Russie et la reprise des sanctions de l’Union européenne, la Suisse a gelé des actifs d’un montant d’environ 13 milliards de francs, dont 7,2 milliards de francs de la banque centrale russe.

Le temps de transférer les biens

"Il est compréhensible que le Seco ne s’attende plus à voir les avoirs gelés russes progresser sensiblement. Après plus de deux ans de guerre, la fenêtre...

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