Transjurane: d’un bouchon à l’autre

Le commentaire du rédacteur en chef en marge du 25e anniversaire de l’ouverture du premier tronçon de l’autoroute A16, le 14 novembre 1998.
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Rémy Chételat
Rémy Chételat
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La Transjurane fait désormais partie du paysage jurassien. À tel point qu’on oublierait presque que la région a été longtemps tenue à l’écart du réseau autoroutier du pays. Il suffit de remonter 25 ans sur la route du temps pour arriver au jour d’ouverture à la circulation, au matin du 14 novembre 1998, du premier tronçon de la Transjurane, 23 km, fort en symbole: le franchissement de la montagne entre l’Ajoie et la vallée, via les tunnels bidirectionnels des monts Terri et Russelin.

Le col des Rangiers était dompté, lui qui faisait, en hiver et de nuit tout spécialement, du trajet Delémont-Porrentruy une véritable expédition. Une aventure routière qui trop souvent se terminait mal; les croix encore visibles le long de la route rappellent ces drames.

L’autoroute A16 a offert un nouvel horizon de...

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