Plus de 80 voitures sont engagées au Critérium jurassien. Quelle sera l’émission totale de CO2 des coureurs du Crité en tonne, sachant qu’une tonne représente 415 litres d’essence, donc un voyage aller-retour Jura-Grèce?

Alle, le 1er avril 2023, Critérium Jurassien, étape Alle-Vendlincourt, Jonathan Hirschi, Sarah Lathion, photo Yann Béguelin
Alle, le 1er avril 2023, Critérium Jurassien, étape Alle-Vendlincourt, Jonathan Hirschi, Sarah Lathion, photo Yann Béguelin

© BIST

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Avec les retraits et les abandons, il est impossible de prédire la consommation d’essence exacte. Mais Daniel Lenglet, président du Critérium, indique ceci: "Une étude récente a analysé les manifestations sportives en Suisse romande et leur impact en CO2. Le transport du public représente de loin la plus grande source d’émissions avec 37% du bilan total. La deuxième source ayant un impact conséquent sur la manifestation est la restauration avec un peu moins de 22% du bilan total. L’hébergement ainsi que les transports liés à l’organisation, au matériel et à l’assistance (déplacements des voitures de course vers le site de la manifestation inclus) couvrent chacun plus de 18%, respectivement 16% du bilan total. Les autres sources telles que les déchets et les travaux d’imprimerie représentent chacune moins de 2% du bilan total. À noter que le carburant de compétition utilisé sur l’ensemble du rallye correspond à un impact CO2 de seulement 3% du bilan total. Le Critérium jurassien n’émet pas plus, voire moins, de CO2 que n’importe quelle manifestation de même ampleur." LQJ

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