Des villes qui respirent grâce à l’intelligence artificielle

Des internautes génèrent des images de synthèse de cités, qui font la part belle à la mobilité douce et à la verdure. Un mouvement artistique qui bouscule l’imaginaire collectif.
«Les sous-sols sont des gruyères. Une végétalisation de qualité est difficile à développer au-dessus des infrastructures», fait remarquer Natacha Guillaumont, professeure HES et architecte paysagiste.
«Les sous-sols sont des gruyères. Une végétalisation de qualité est difficile à développer au-dessus des infrastructures», fait remarquer Natacha Guillaumont, professeure HES et architecte paysagiste.

«Les sous-sols sont des gruyères. Une végétalisation de qualité est difficile à développer au-dessus des infrastructures», fait remarquer Natacha Guillaumont, professeure HES et architecte paysagiste.

© KEYSTONE

Florian Delafoi, Le Temps
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À quoi ressembleront les villes de demain? Sur les réseaux sociaux, des internautes font appel à l’intelligence artificielle pour penser l’aménagement de nos rues en dehors des sentiers battus. Ces urbanistes en herbe ajoutent des couches de verdure et des grappes de passants à des photographies de zones urbaines marquées par le trafic automobile. Ce mouvement artistique, qui n’a pas vocation à proposer une approche réaliste, gagne en popularité dans le contexte du réchauffement climatique.

Les villes suisses n’échappent pas au coup de pinceau virtuel. Publiée sur Twitter, une vidéo montre des voitures qui s’agglutinent devant la gare de Berne dans une fine brume de pollution. Soudain, le trafic automobile s’évapore pour laisser place à des arbres, des parasols et des habitants qui flânent. En toile de fond sonore, les...

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