Martres prises au piège… photographique dans les forêts ajoulotes

Trois étudiants en biologie à l’Université de Neuchâtel, dont Valentin Michel, de Courtedoux, ont posé 15 pièges photographiques dans les forêts d’Ajoie afin de déterminer l’habitat favorisé par la martre des pins.
Trois étudiants de l'Université de Neuchâtel, dont Valentin Michel, de Courtedoux, ont posé des pièges photographiques à plusieurs endroits dans les forêts d'Ajoie. Leur objectif était de connaître le type d'habitats de la martre des pins. A l'image, une martre ou une fouine attirée par l'appât.
Trois étudiants de l'Université de Neuchâtel, dont Valentin Michel, de Courtedoux, ont posé des pièges photographiques à plusieurs endroits dans les forêts d'Ajoie. Leur objectif était de connaître le type d'habitats de la martre des pins. A l'image, une martre ou une fouine attirée par l'appât.

Une martre, probablement, attirée par l’appât d’huile de poisson. Le cliché a été pris au crépuscule.

Josué Merçay
Josué Merçay
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La martre des pins (Martes martes) se cache dans les forêts ajoulotes. Mais où la trouver, et surtout comment, en sachant qu’elle est bien plus discrète que sa "sœur" la fouine (Martes foina)?
Dans le cadre de leurs études de master, trois étudiants en biologie de l’Université de Neuchâtel, le Loup Valentin Michel, le Vaudois Némo Choulat et le Valaisan Florian Moix, ont posé 15 pièges photographiques dans les forêts ajoulotes (Bressaucourt, Courtemautruy et Chevenez) durant cinq semaines ce printemps afin d’observer le mustélidé et de tenter de définir le milieu forestier qu’il favorise.
Cinq habitats testés
"Nous avons testé cinq types d’habitats: les îlots de forêts, les lisières proches des villages, les lisières éloignées, les...

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