Avec ou sans fers? Les rois du saut d’obstacles en quête du sabot parfait

Trois chevaux sans fer ont mené leur cavalier sur le podium de la finale de la Coupe du monde de saut à Riyad. Un choix qui demande réflexion et encadrement, préviennent deux maréchaux-ferrants de premier plan. À chaque quadrupède sa solution.
Henrik von Eckermann monte des chevaux déferrés avec succès.
Henrik von Eckermann monte des chevaux déferrés avec succès.

Henrik von Eckermann monte des chevaux déferrés avec succès.

© KEYSTONE

Lorène Mesot, Le Temps
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Peut-on parler de sacre quand le prétendant à la couronne est déjà roi? La semaine dernière à Riyad, King Edward et son cavalier Henrik von Eckermann, numéro 1 mondial depuis vingt et un mois, ont remporté la finale de la Coupe du monde de saut d’obstacles et assuré le spectacle avec des sauts parfois acrobatiques. La victoire est d’autant plus belle que derrière eux, le Français Julien Epaillard et l’autre champion suédois, Peder Fredricson – montés sur la bondissante Dubaï du Cèdre et le très précis Catch Me Not S –, ne leur ont laissé d’autre choix que l’excellence.

Sur le podium finalement, trois cavaliers de grande classe, trois montures stupéfiantes et une coïncidence: les trois équidés ont les sabots nus. Une exception dans un sport...

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