La mesure des rêves olympiques

Si, derrière chaque médaille olympique, se cache de nombreuses heures d’entraînement, un autre secteur est primordial, celui du chronométrage. Aux JO, ce rôle est en mains suisses depuis 1932, grâce à un mandat confié par le CIO à Omega. Beaucoup de choses se passent chez Swiss Timing, à Corgémont.
Chronométrage, Omega
Chronométrage, Omega

Omega est en charge du chronométrage olympique depuis 1932. Cette année, ce sont plus de 500 chronométreurs et professionnels qui seront engagés sur les différents sites de Paris 2024.

Omega

Jessica Dubois
Jessica Dubois
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En anglais, chronométreur se traduit par timekeeper. Des gardiens du temps? Voilà la mission qui sera remplie par 550 professionnels d’Omega dans le cadre des Jeux olympiques de Paris 2024. Une aventure commencée en 1932.
"Tout au long de notre parcours dans le domaine du chronométrage, nous avons joué un rôle de premier plan dans la recherche, le développement et la maîtrise des technologies qui capturent chaque seconde. Nous avons introduit différents systèmes qui permettent de rendre la victoire indiscutable", se félicitent les dirigeants d’Omega. Ces technologies et ces avancées sont notamment possibles grâce au travail réalisé à Corgémont, dans les locaux de Swiss Timing.
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