Lydie Amie Farron, Tavannoise au destin à la fois si commun et si unique

Lydie Amie Farron (1816-1895) a désormais sa statue au pied de l'Hôtel-de-Ville de Tavannes. Celle qui dut émigrer et qui oeuvra au service de l'aristocratie russe pendant 20 ans fait partie des personnalités de la région mises en lumière dans le cadre des 50 ans du suffrage féminin.
La statue à l'effigie de Lydie Amie Farron (1818-1895), oeuvre d'Helena von Beust, a été dévoilée en présence de ses descendants, Olivier Guerne, Françoise Cartier (derrière) et Pierre Farron.
La statue à l'effigie de Lydie Amie Farron (1818-1895), oeuvre d'Helena von Beust, a été dévoilée en présence de ses descendants, Olivier Guerne, Françoise Cartier (derrière) et Pierre Farron.

Olivier Guerne, Françoise Cartier (derrière) et Pierre Farron posent devant la statue de leur illustre ancêtre, oeuvre d'Helena von Beust.

Réseau égalité Berne francophone

Céline Lo Ricco Châtelain
Céline Lo Ricco Châtelain
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Suite de la série mettant à l’honneur des femmes ayant marqué la région à leur façon, dans la foulée de l’exposition «ExceptionnELLES» réalisée pour les 50 ans du suffrage féminin. Après Élise Benoît Huguelet à Vauffelin, c’était au tour de Lydie Amie Farron (1816-1895), Tavannoise ayant émigré en Russie au XIXe siècle, d’être honorée dans sa commune d’origine, vendredi.
Lors d’une cérémonie publique, une statue à son effigie a été inaugurée au pied de l’Hôtel-de-Ville de Tavannes, en présence des autorités, de représentants du Réseau égalité Berne francophone, ainsi que de trois de ses descendants.
Comme l’a rappelé Sylviane Messerli, directrice du Centre de recherche et de...

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