Un groupe d’entraide pour sortir "les sacrifiés des ondes" de l’isolement

"C’est l’environnement des ondes qui nous rend malades. Nous sommes des sacrifiés des ondes", explique Bruno Cardona. Il souffre d'un syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques qui l’a obligé à se protéger des ondes toujours plus nombreuses. Rencontre.
Mention : Nadège Fleury, illustratrice, sa vision du Syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM)
Mention : Nadège Fleury, illustratrice, sa vision du Syndrome d'intolérance aux champs électromagnétiques (SICEM)

Nadège, jeune Jurassienne intolérante aux ondes, a tenu à témoigner par l’illustration, des douleurs provoquées par les champs électromagnétiques.

© LQJ

Thierry Bédat
Thierry Bédat
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"J’ai découvert par hasard que je me sentais beaucoup mieux depuis que mon wifi était en panne", se souvient le thérapeute et géobiologue delémontain Bruno Cardona, qui avait alors fait le test de l’isolement, en passant entre cinq et dix jours loin de toute source électromagnétique.
"Je me suis senti complètement différent et c’est là que j’ai compris que cela ne jouait pas", poursuit-il, en insistant sur le fait qu’il se sent parfaitement bien dans un environnement sain.
Des symptômes trop communs
Les symptômes de l’électrohypersensibilité ou syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques peuvent prendre la forme de vertiges, de troubles oculaires, d’une certaine confusion, de lésions cutanées ou de maux de tête. "C’est un...

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