Yannis Voisard: "Ce n’est pas facile tous les jours, mais ce que je vis, c’est du bonus!"

Le "Quotidien Jurassien" a eu le privilège de suivre le cycliste professionnel Yannis Voisard au Tour des Abruzzes la semaine dernière, avant sa participation au Tour de Romandie, dès mardi prochain. Cinq jours hors du temps, en immersion avec l’équipe suisse Tudor, entre mer et montagnes.
Tour des Abruzzes, Cyclisme, les deux Jurassiens de la Tudor Pro Cycling engagés, Yannis Voisard à droite et Robin Donzé à gauche
Tour des Abruzzes, Cyclisme, les deux Jurassiens de la Tudor Pro Cycling engagés, Yannis Voisard à droite et Robin Donzé à gauche

Les deux Jurassiens de Tudor, avec Yannis Voisard, à droite, et Robin Donzé.

© LQJ/Véronique Erard-Guenot

Véronique Erard-Guenot
Véronique Erard-Guenot
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Cet article fait partie de la série de la semaine "Dans la roue de Yannis Voisard". Retrouvez ici toutes nos séries.
Profession cycliste. Après un bachelor en biologie obtenu l’an dernier à Neuchâtel en parallèle de sa carrière cycliste, le Jurassien Yannis Voisard passe désormais 300 jours par an sur son vélo, dont une cinquantaine avec un dossard de course épinglé sur le dos.
À 25 ans, ce beau grimpeur (57 kg pour 1 m 75), plus endurant qu’explosif, vit une nouvelle vie. "Un job à temps plein" comme il dit, une vie hors norme, dont ils sont nombreux à rêver, beaucoup moins à pouvoir prétendre. Pour Yannis, 5e du Tour des Abruzzes la semaine dernière, ce n’était pourtant pas un destin...

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