Quand le futur "Maître" Roger Federer passait par Courrendlin
Bien sûr, la venue dans la capitale le dimanche 21 octobre 2001 de Yannick Noah, facilitée par le TC Delémont, était déjà une belle prouesse. Mais avec "Rodgeur", notre trésor national qui était à l’aube de trouver le déclic et d’inaugurer (dès l’année suivante) son fabuleux palmarès, finalement riche de 20 titres en Grand Chelem, le TC Courrendlin avait permis de vivre quelque chose de plus poignant encore.
"Federer était déjà une personnalité. Il n’avait encore rien prouvé et je trouvais qu’il avait vraiment les pieds sur terre", raconte René Christe, alors président du TC Courrendlin et aujourd’hui paisible retraité. "Tout le monde le tutoyait. On parlait de golf, on voulait jouer ensemble, mais cela ne s’est jamais fait."
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