Une délicate cohabitation en question dans le Jura bernois
Grâce à la révolution de l’électrique, le vélo part à l’assaut des sommets. Dans certains cantons alpins, la multiplication des vélos exaspère. Si la cohabitation est bonne entre randonneurs et cyclistes dans le canton du Jura, elle semble moins idyllique dans le Jura bernois.
Magique vélo électrique. Il donne des ailes, repousse les limites, permet de s’envoler – sans s’épuiser – vers des hauteurs autrefois réservées aux cyclistes confirmés et exercés. Fini les ascensions qui vous laissent à moitié agonisant, bonjour la griserie des grimpettes électriques.
Le Jura épargné
Reste que, dans certains cantons alpins, alémaniques notamment, la multiplication des cyclistes et néocyclistes en montagne fait débat. "La cohabitation entre randonneurs et adeptes du deux-roues est brûlante dans les Grisons par exemple, nous indique cette Jurassienne, très au fait des pratiques, car les uns et les autres se côtoient sur les mêmes sentiers pentus et sinueux".
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